Un détecteur, ça se teste, ça s’entretient, ça se remplace

Depuis 10 ans, il sauve des vies.

Mais pour qu’il continue à protéger, il doit être vérifié et remplacé.

#checktondetecteur

Un petit appareil discret, mais vital

Chaque année en France

+ 60 000 incendies domestiques

+ 200 décès

+ 9 000 bléssés

Les Détecteurs Autonomes Avertisseurs de Fumée (DAAF) ont contribué à réduire le nombre de décès de

50 %

Depuis leur généralisation, ils sauvent des vies

Quand le détecteur vous alerte

Le détecteur de fumée fonctionne grâce à un capteur optique sensible à la lumière. Lorsque la fumée pénètre dans l’appareil et empêche la lumière d’atteindre le capteur, une alarme sonore se déclenche pour avertir les occupants d’un potentiel danger.

En cas de dysfonctionnement, l’appareil peut se déclencher sans raison apparente ou, à l’inverse, rester silencieux en présence de fumée. Il est donc essentiel de vérifier régulièrement qu’il fonctionne correctement.

10 ans de protection, pas plus

Une fois installé, on n’y pense plus. Or un détecteur n’est pas éternel.

Au-delà, les composants internes peuvent s’user (capteurs, pile, électronique…), ce qui diminue fortement son efficacité, même s’il semble encore fonctionner.

10

L’entretien, une condition de fiabilité

Le nettoyage d’un DAAF, 3 gestes simples à adopter

    • Tous les mois, passez un chiffon doux légèrement humide sur l’extérieur de votre détecteur.
    • Tous les 6 mois, nettoyez l’intérieur avec un aspirateur avec embout brosse souple sur les grilles d’aération du détecteur.
    • À éviter absolument :
      • Produits ménagers
      • Aérosols au parfum
      • Lingettes imbibées ou solvants